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TROUBLES DES APPRENTISSAGES

 

Troubles des apprentissages : les troubles "dys"

Les principaux troubles des apprentissages sont la dyslexie (trouble spécifique de la lecture), la dyspraxie (trouble du développement moteur et de l’écriture), la dyscalculie (trouble des activités numériques), la dysphasie (trouble du langage oral) et les troubles de l’attention. Ces troubles sont durables, mais leur prise en charge permet d’améliorer et/ou de compenser les fonctions déficientes.

Dossier réalisé en collaboration avec le Dr Caroline Huron, laboratoire de Neuroimagerie cognitive U992 Inserm-CEA, avec le Dr Johannes Ziegler, laboratoire de Psychologie Cognitive, UMR7290 CNRS et avec le Pr Michel Habib, neurologue à l’hôpital La Timone à Marseille, centre de référence des troubles de l’apprentissage Résodys - Octobre 2014


Différents troubles de l’apprentissage se manifestent chez des enfants qui ont une intelligence et un comportement social normaux et qui ne présentent pas de problèmes sensoriels (vue, ouïe). Ces enfants éprouvent des difficultés à apprendre à lire, à écrire, à orthographier, à s’exprimer ou encore à se concentrer. Les aires cérébrales impliquées, les manifestations et les prises en charge diffèrent selon les troubles. Cependant, l’association de plusieurs de ces troubles (deux ou plus) est fréquente chez un même enfant : cela suggère l’existence possible d’un mécanisme commun qui serait à l’origine de ces dysfonctionnements, vraisemblablement au cours du développement. Cette piste est actuellement explorée par les chercheurs.

Les troubles de l’apprentissage comprennent :

Les troubles de la lecture (acquisition du langage écrit) : on parle de dyslexie
Les troubles du développement moteur et de l’écriture : on parle de dyspraxie
Les troubles des activités numériques : on parle de dyscalculie.
Les troubles du langage oral : on parle de dysphasie.
Les troubles de l’attention
Des troubles fréquemment associés
Dans près de 40 % des cas, un enfant concerné par les troubles DYS présente plusieurs types de troubles des apprentissages. La dyslexie ou la dyscalculie sont fréquemment associées à des troubles de la coordination motrice (dyspraxie) ou de l’attention. En outre, un problème de langage oral (dysphasie) est associé à un risque de dyslexie dans 50 % des cas.

Les troubles de la lecture : la dyslexie

Après le début de l’apprentissage de la lecture au cours préparatoire, la dyslexie se manifeste par une mauvaise association entre graphèmes (signes écrits) et phonèmes (sons), ainsi que par une incapacité à saisir rapidement un mot dans sa globalité. L’enfant déchiffre lentement et fait des erreurs. Entre 3 et 5 % des enfants seraient concernés. Ce trouble est très souvent associé à la dysorthographie (difficulté à maitriser l’orthographe). D’ailleurs, on ignore s’il existe des formes de dysorthographie indépendantes de la dyslexie.

Ces dysfonctionnements sont souvent liés à un mauvais développement phonologique en amont de l’apprentissage de la lecture (difficultés à discriminer les sons proches, faible conscience phonologique) et/ou à des problèmes dans le traitement orthographique (confusions et inversion de lettres, mauvais codage de la position des lettres). Ces déficits entraînent une mauvaise connectivité au sein du réseau de la lecture, entre l’aire de la "forme visuelle des mots" située dans le lobe occipital temporal gauche et les aires du langage situées dans le lobe temporal (Wernicke) et frontal (Broca).

Les troubles spécifiques du développement moteur : la dyspraxie

Les enfants dyspraxiques ont des difficultés à planifier, à programmer et coordonner des gestes complexes. Ils ne peuvent pas automatiser un certain nombre de gestes volontaires, notamment l’écriture (ce qui entraîne une dysgraphie). Ces enfants contrôlent laborieusement le dessin de chaque lettre, ce qui absorbe une grande partie de leur attention et les empêche de prêter attention aux autres aspects (orthographe, sens des mots...). La prévalence de la dyspraxie est évaluée à environ 5 à 7 % des enfants de 5 à 11 ans.

La dyspraxie est souvent associée à des anomalies de la perception visuo-spatiale et à des troubles d’organisation du regard qui perturbent l’appréhension de l’environnement par l’enfant.

 

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L'ADRÉNALINE

 

Qu’est-ce que l’adrénaline ?


Lorsque le cerveau détecte une source de stress (des embouteillages, une échéance à respecter, un patron de mauvais poil...), il envoie un signal à l'hypothalamus, le centre de nos émotions, situé à la base de notre cerveau.

L'hypothalamus va envoyer un message nerveux aux glandes médullosurrénales, situées au-dessus des reins. Ce sont elles qui vont alors sécréter l'adrénaline.

La présence d'adrénaline dans le sang déclenche instantanément des réactions dans tout le corps : le rythme cardiaque augmente, la respiration s'accélère, la pression artérielle augmente, le cerveau et les muscles reçoivent plus d'oxygène, tandis que notre digestion se ralentit, les pupilles se dilatent pour augmenter la vigilance.

L'adrénaline permet de mobiliser l'organisme tout entier pour affronter le danger.

L'adrénaline, l'hormone des sensations fortes


Pour certains, les réactions qu'elle provoque sont plutôt désagréables mais pour d'autres, en revanche, l'adrénaline peut devenir une véritable drogue.

Chute libre, saut à l'élastique, course de Formule 1, parachute... Rien n'est alors trop dangereux pour ces "accros" du risque.

L ‘adrénaline, un traitement de choc


L'adrénaline n'est pas seulement une conséquence du stress ou d'une situation dangereuse. C'est aussi un médicament de choix dans le traitement des arrêts cardiaques, des chocs allergiques ou encore des œdèmes.

Fabriquée de manière synthétique depuis 1900, elle fait d'ailleurs partie intégrante de l'arsenal thérapeutique de la médecine d'urgence.

Cette molécule est ainsi largement utilisée par les médecins du SAMU, mais son maniement reste délicat. Un surdosage peut en effet entraîner tachycardie et troubles du rythme cardiaque et peut ainsi aggraver l'état du patient.

 

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LES VITAMINES

 

LES  VITAMINES

TABLEAU  COMPLET

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ALZHEIMER

 


La Lettre Santé Nature Innovation par Jean-Marc Dupuis
est un service d'information gratuit sur la santé, la nutrition et le bien-être.  



L'huile pour les malades d'Alzheimer

Votre cerveau est gros consommateur d'énergie. Son carburant principal est le glucose (sucre).

Sans carburant, non seulement les cellules du cerveau, appelées neurones, cessent de fonctionner, mais elles commencent à se désintégrer et meurent.

Si elles meurent massivement, vous perdez vos capacités cérébrales. C'est ce qui arrive aux personnes malades d'Alzheimer. Si vous regardez leur cerveau avec un scanner, vous voyez partout des trous, d'autant plus grands que la maladie est avancée. Et bien sûr, la personne malade d'Alzheimer perd la mémoire, la capacité de réflexion, fait des choses de plus en plus étranges et incohérentes, et finit par perdre toute capacité, même celles de s'habiller, de manger, ou d'aller aux toilettes.

Des chercheurs pensent aujourd'hui que, chez les malades d'Alzheimer, les cellules du cerveau seraient devenues incapables d’absorber le glucose, sans qu'on sache exactement pourquoi. C'est ce qui expliquerait que les neurones cessent de fonctionner et meurent massivement. Elles seraient privées de carburant.

Alzheimer, ou « diabète de type 3 »

Le mécanisme de l'Alzheimer serait donc similaire à celui du diabète.

Dans le diabète, les cellules du corps n'absorbent plus correctement le glucose du sang, laissant dangereusement monter le taux de sucre sanguin (glycémie), ce qui provoque toutes sortes de dégâts dans l'organisme. Dans le cas du diabète, le problème est lié à l'insuline, l'hormone produite par le pancréas qui « ouvre les portes à glucose » des cellules.

En effet, les cellules toutes seules ne savent pas absorber le glucose. Elles ont besoin d'insuline pour laisser passer le glucose qui peut ensuite être utilisé comme carburant à l'intérieur, dans les petites « usines électriques » que sont les mitochondries.

Parfois, c'est le pancréas qui ne fabrique plus d'insuline (diabète de type 1), parfois ce sont les cellules qui ne réagissent plus à l'insuline (diabète de type 2). Dans les deux cas, le résultat est que les cellules manquent de glucose et donc d'énergie, tandis que le sang, lui, est beaucoup trop chargé en glucose, situation paradoxale et très dangereuse.

La maladie d'Alzheimer, donc, serait le « diabète du cerveau ». Certains l'appellent donc aujourd'hui le « diabète de type 3 ».

En l'absence de glucose, nos cellules peuvent fonctionner grâce aux cétones

Laisser mourir de faim nos neurones est le plus grand danger pour notre cerveau.

Le danger est d'autant plus grand que, lorsque nous arrêtons de manger, nos réserves de glucose s'épuisent en moins de 48 heures !

Et pourtant, il est possible de jeûner 48 heures sans s'évanouir ni perdre ses capacités mentales, et même bien plus, jusqu'à 40 jours sans problème pour une personne en bonne santé, et jusqu'à deux mois pour ceux qui ont de bonnes réserves de graisses.

Quel est le miracle ?

C'est que, comme d'habitude, la nature a bien fait les choses. Elle a prévu un carburant de rechange en cas de famine prolongée.

Nos cellules sont aussi capables de fabriquer de l'énergie avec des « cétones », qui sont des molécules issues de la dégradation de nos graisses corporelles. Mais notre foie est aussi capable de fabriquer des cétones à partir de certaines graisses alimentaires, les triglycérides à chaîne moyenne (TCM). Parmi les produits alimentaires naturels, l'huile de noix de coco vierge est la plus riche en TCM.

Or, des médecins aux Etats-Unis se sont récemment aperçus que beaucoup de personnes malades d'Alzheimer, dont le cerveau n'arrive plus à se nourrir de glucose, peuvent lui fournir à la place des cétones. Il faut pour cela qu'elles mangent de l'huile TCM et/ou de la graisse de noix de coco (qui est riche en TCM).

En effet, les cétones ont la capacité, contrairement aux autres acides gras, de traverser la barrière sang-cerveau (barrière hémato-encéphalique). Elles sont alors capables de rejoindre les neurones, où elles entrent sans avoir besoin d'insuline. Elles peuvent ensuite être brûlées à la place du glucose pour produire de l'énergie cellulaire. Les neurones qui étaient en état de famine, et peut-être en train de mourir, peuvent ainsi revivre.

Le fait que le cerveau puisse utiliser un autre carburant que le glucose a été découvert en 1967 et publié dans un article intitulé « Métabolisme du cerveau pendant le jeûne » dans la revue Journal of Clinical Investigation, par le Dr George Cahil et ses associés.

De plus, la présence de cétones dans le sang fait initialement accélérer jusqu'à 39 % la circulation du sang dans le cerveau, ce qui contribue aussi à une meilleure alimentation des neurones [1].

C’est une des raisons pour lesquelles un régime qui favorise la production de cétones peut être bénéfique pour lutter contre l’épilepsie, un trouble neurologique caractérisée par une mauvaise coordination des neurones.

De plus en plus de données scientifiques s’accumulent aussi sur les bienfaits d’un régime cétogène pour lutter contre l’évolution des cancers. En effet, contrairement aux cellules de notre cerveau, les cellules des tumeurs ne savent pas utiliser ce carburant alternatif et ont impérativement besoin de glucose pour survivre (voir ici pour plus d’informations).

L'extraordinaire Dr Mary Newport

Le Dr Mary Newport, en particulier, est devenue célèbre en publiant un livre où elle raconte comment son mari Steve, souffrant d'Alzheimer, a retrouvé une partie de ses capacités mentales dans les jours qui ont suivi la prise quotidienne d'huile de noix de coco riche en TCM [2].

« C'était comme si on allumait la lumière. Le brouillard s'est dissipé », a-t-il déclaré dans les heures qui ont suivi. Et il est en effet redevenu capable de retrouver le chemin de la table à manger, de parler, de trouver ses couverts et de se servir un verre d'eau. Les changements les plus évidents concernaient sa personnalité : de triste et silencieux il est redevenu souriant, bavard, et même capable de plaisanter.

En fait, l'amélioration a pu être constatée par les médecins. Il existe un célèbre test pour mesurer le degré de maladie d'Alzheimer, appelé « test de l'horloge », où le patient doit essayer de dessiner un cercle et d'y indiquer l'heure avec des aiguilles comme sur une montre. Steve Newport n'avait que 14 à ce test, un signe d'une maladie d'Alzheimer sévère, avant de prendre 35 grammes d'huile de coco. Trente-sept jours plus tard, il obtenait 18 au même test, une amélioration très rare dans cette maladie, qu'aucun médicament aujourd'hui ne sait améliorer (au mieux, les médicaments aident à stabiliser la maladie ou à ralentir la régression du malade).

Chaque jour, Steve a continué à prendre de l'huile de noix de coco, et son état a continué de s'améliorer tout doucement. À deux occasions cela n'a pas été possible et il a aussitôt été repris des tremblements typiques de la maladie d'Alzheimer, et saisi d'angoisse et de tristesse comme si, à nouveau privés de cétones et donc de carburant, les neurones de son cerveau cessaient de fonctionner.

Renforcer l'effet des TCM sur les neurones

Attention, pour fonctionner, les cellules du cerveau n'ont pas uniquement besoin de cétones. Elles peuvent aussi manquer d'autres éléments, auquel cas apporter des cétones aura peu ou pas d'effet.

Le manque de vitamine B, vitamine D et acide docosahexanoïque (DHA, un type d'oméga-3) contribue aussi à la démence.

Lorsqu'un carburant, comme le glucose ou les cétones, entre dans les mitochondries (mini usines qui produisent de l'énergie dans nos cellules), une réaction en chaîne se déclenche qui aboutit à la production d'ATP (adénosine triphosphate) qui permet à la cellule de fonctionner. Mais certaines substances sont requises pour permettre cette réaction en chaîne, comme le CoQ10, la L-carnitine, le magnésium. Chacune de ces substances peut se retrouver en pénurie pour diverses raisons et, par conséquent, moins d'ATP est produit. Pour augmenter l'efficacité de la prise d'huile de coco ou d'huile TCM, il peut être efficace de se supplémenter avec ces substances.

Comment augmenter son niveau de cétones

Une manière de produire des cétones est de suivre un régime très riche en graisse (80 %) et pauvre en glucides et en protéines (20 %). C'est ce qu'on appelle le régime cétogénique, utilisé pour soigner l'épilepsie chez les enfants. Ce régime est utilisé depuis un siècle environ (1921), suite aux recherches du Dr Rawle Geyelin. C'est un régime à suivre sous surveillance médicale.

L'autre moyen est de consommer des aliments riches en triglycérides à chaîne moyenne, comme l'huile de coco. Les acides gras sont alors absorbés dans l'intestin grêle et transportés directement au foie, où ils sont partiellement convertis en cétones. Les cétones sont alors libérées dans le système sanguin. Et au lieu d'être stockés comme graisse, les acides gras sont directement utilisés comme carburant cellulaire par les mitochondries des cellules musculaires, tandis qu'une partie va traverser la barrière sang-cerveau pour rejoindre les neurones.

Les sources alimentaires les plus concentrées en acides gras à chaîne moyenne sont l'huile de coco et l'huile de palmiste, qui en contiennent 55 à 60 % environ. Il existe aussi de l'huile TCM qui en contient 100 % et qui est vendue en pharmacie.

Dans les deux cas, ces huiles peuvent provoquer de fortes diarrhées chez les personnes qui n'y sont pas habituées. Il faut donc commencer par de petites quantités, toujours mélangées à de la nourriture, au cours du repas. Augmenter progressivement les doses pour parvenir à quatre à six cuillères à soupe par jour, selon la taille de la personne, étalées sur deux à quatre repas.

Vous pouvez vous servir de la graisse de coco en remplacement des autres graisses dans votre cuisine, du moment que vous ne la faites pas chauffer au-delà de 180°C, par exemple pour faire cuire un pavé de saumon à la poêle ou au four. Solide à température ambiante, elle devient liquide dès 24,5°C, ce qui n'est pas très chaud, et peut donc servir pour une vinaigrette qui sera très légèrement tiède. Vous pouvez aussi vous en servir dans la pâtisserie, sachant que l'huile de coco vierge ajoutera un léger goût parfumé vraiment délicieux avec le chocolat.

 

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