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INSTRUMENTS DE LA PHYSIQUE AU SERVICE DE LA BIOLOGIE ET DE LA MÉDECINE

 

INSTRUMENTS DE LA PHYSIQUE AU SERVICE DE LA BIOLOGIE ET DE LA MÉDECINE


Sept chercheurs présentent des applications récentes en médecine et biologie de techniques mises au point au départ dans le domaine de la physique. Sigrid Avrillier (Laboratoire de physique des lasers, Villetaneuse) décrit un capteur laser qui permet de mesurer les propriétés d'oxygénation des tissus. Le principe de l'appareil repose sur l'analyse de la réflexion d'un rayon laser par un tissu biologique : lorsque le laser entre en contact avec la peau, on observe une tache de couleur due à la réémission de lumière par le tissu. Philippe Lanièce (Institut de physique nucléaire, Orsay) présente le système de tomographie gamma haute résolution TOHR. TOHR est utilisé pour obtenir une image du cerveau d'un petit animal (ici un rat). Le marqueur radioactif utilisé est le technétium. Pascal Laugier (Laboratoire d'imagerie paramétrique, Faculté de médecine de Paris) étudie l'utilisation des ultrasons en imagerie médicale. Un test basé sur l'analyse d'une image du calcanéum, un os du talon, a été mis au point pour mesurer l'évolution de l'ostéoporose. Bernard Renault (Laboratoire Neurosciences cognitives et imagerie cérébrale, hôpital de la Pitié Salpétrière de Paris) utilise la magnéto-encéphalographie et l'électro-encéphalographie pour localiser les zones d'activité du cerveau et les relier aux gestes du patient. Les zones activées sont visualisées par des gradients de couleur sur les images de la tête. L'intérêt de la magnéto-encéphalographie est sa résolution temporelle exceptionnelle (de l'ordre du millième de seconde). Mathias Fink (Laboratoire Ondes et acoustique, Ecole supérieure de physique et de chimie industrielle de Paris) est un spécialiste de la propagation des ultrasons. Il présente d'abord un détecteur d'ultrasons à très haute fréquence qui permet de visualiser les ondes de cisaillement dans les tissus et de différencier ceux-ci en fonction de leur dureté (détection de nodules plus durs que les tissus mous qui les entourent). Est ensuite décrite une technique de correction du front d'onde qui permet d'éliminer les effets de distorsion engendrés par les os du crâne dans l'échographie cérébrale. Jacques Bittoun (Unité de recherche en résonance magnétique médicale, hôpital du Kremlin Bicêtre) utilise l'IRM pour étudier les fonctions cardiaques et pulmonaires. L'air qui remplit les poumons étant insensible à la RMN, il faut utiliser de l'hélium hyperpolarisé, inoffensif pour l'être humain. L'IRM cardiaque permet de visualiser la vitesse et l'accélération du sang dans l'aorte. Didier Chatenay (Laboratoire de dynamique des fluides complexes, Strasbourg) s'intéresse à la structure de l'ARN. Une "pince optique" (laser) permet de manipuler une molécule d'ARN pour mesurer à l'aide de la microscopie par ondes évanescentes le repliement lors de la transcription. Le repliement est également étudié par simulation numérique.

Générique
Auteur, réalisateur : Olivier Blond Producteur : CNRS Audiovisuel Diffusion : CNRS Diffusion Copyright CNRS 2001

 

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STRESS CELLULAIRE

 

Paris, 24 juin 2014


Des neurones d'emblée trop sensibles au stress cellulaire dans la maladie de Huntington


Les neurones ne peuvent pas se défendre correctement contre la maladie de Huntington, et ce, dès le début de la pathologie. C'est ce qu'une équipe de chercheurs de l'Inserm de l'Institut de biologie Paris-Seine (Inserm/CNRS/université Pierre et Marie Curie) et leurs collègues américains et australiens ont découvert. En cause, la défaillance d'un mécanisme important de longévité cellulaire. Au-delà de ce résultat, cette étude montre l'importance de restaurer la capacité de résistance au stress des neurones pour retarder les manifestations de la maladie. Des travaux qui conduisent à une nouvelle façon d'envisager de traiter les maladies neurodégénératives. Les résultats de ce travail sont publiés dans PLoS Biology.

 

DOCUMENT              CNRS                LIEN

 
 
 
 

COELIOCHIRURGIE ASSISTÉE PAR ROBOT ( DA VINCI )

 

COELIOCHIRURGIE ASSISTÉE PAR ROBOT (DA VINCI) ET DONNEUR VIVANT APPARENTÉ (DVA) : TECHNIQUE CHIRURGICALE


Introduction : la chirurgie ouverte reste la technique de référence pour les prélèvements de rein chez le donneur vivant. La voie laparoscopique, nettement moins invasive, demeure une technique difficile, même avec une assistance manuelle intra-corporelle, et peu d'équipes l'ont développée. La robotique (Da Vinci ®, Intuitive Surgical), avec l'apport d'une vision tridimensionnelle et l'amélioration de la dextérité chirurgicale, permet de réaliser ces prélèvements dans des conditions techniques et de sécurité supérieures. La vidéo décrit les points principaux de ce prélèvement tel qu'il est actuellement réalisé par notre équipe après une expérience de 25 cas. Méthode : le patient est installé en décubitus dorsal incliné sur le côté opposé au rein prélevé. 4 trocarts sont utilisés (2 x 10 mm et 12 mm pour le robot, 12 mm pour l'aie). Après dissection du fascia de Toldt, le rein est libéré ainsi que l'uretère. Les différentes collatérales veineuses sont clippées (HemoLock®). Pour le rein droit, la dissection est faite en inter-aortico-cave. Après libération complète du rein sur son pédicule, celui-ci est laissé au repos pendant quelques minutes, et une incision de Pfannenstiel est réalisée, permettant d'introduire un endo-catch. Deux clips sont placés sur l'artère rénale puis sur la veine qui sont ensuite sectionnées. Le rein est placé dans l'endo-catch et extrait par l'incision sus-pubienne. Il est lavé et refroidi immédiatement au Belzer ®). Un surjet complémentaire de 6/0 est placé sur le moignon de l'artère rénale pour en sécuriser l'hémostase. Le rein est transplanté dans les heures qui suivent chez le receveur. La reprise de diurèse a été immédiate chez tous les receveurs. Conclusion : la coeliochirurgie apporte au patient l'avantage largement reconnu de l'abord mini-invasif. La robotique apporte au chirurgien une aisance technique qui permet la réalisation de gestes techniques plus délicats, plus rapidement qu'en coeliochirurgie classique et avec une ergonomie supérieure. Si cette technique se développe, il est probable qu'elle permette une acceptation du prélèvement plus fréquente chez les donneurs vivants.

Origine
FILMED 2005 - 105 5204 195
Générique
Auteur : Hubert J. Co-auteurs : Mourey E. - Renoult E. - Feuillu B. - Billaut Frimat L. - Cormier L. - Artis M. - Hestin D. FILMED 2005 - 105 5204 195 SCD médecine Nancy

 

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MALADIE DE CHARCOT

 

MALADIE  DE  CHARCOT

                                                                                     LIEN

 

La maladie de Charcot, ou sclérose latérale amyotrophique, est une maladie neurodégénérative d’origine inconnue qui détruit les neurones moteurs et entraîne une paralysie progressive des membres, des muscles nécessaires à la parole, à la déglutition puis à la respiration. Elle est incurable.
Origine de la maladie de Charcot
Les causes de la maladie, qui se déclare surtout à partir de 50 ans, restent très mal comprises. Dans une minorité de cas, la génétique est accusée, différents gènes portés par plusieurs chromosomes pourraient avoir leur part de responsabilité.
Le plus souvent, elle apparaît de manière plus spontanée. Quelques facteurs de risques semblent y avoir été associés, même si les résultats sont insuffisants pour en préciser fermement la cause. Parmi eux, l’exposition à des produits chimiques (les agriculteurs sont plus touchés), une forte activité physique (les sportifs de haut niveau) ou encore une mauvaise hygiène de vie.
La maladie de Charcot se caractérise par la dégénérescence progressive des neurones moteurs du cortex cérébral, de ceux de la moelle épinière et parfois jusque dans les derniers nerfs crâniens. L’information nerveuse motrice ne parvient plus aux muscles, le corps se paralyse. Peu à peu, à force d’inutilisation, les muscles s’atrophient.
Évolution de la maladie de Charcot
Les mains puis les jambes sont, le plus souvent, les premières régions touchées. Lorsque la dégénérescence progresse et atteint le bulbe rachidien, les muscles de la langue, de la déglutition et de la phonation sont atteints : le patient ne parvient plus à parler. La paralysie se répand aux autres muscles de l’organisme, y compris ceux chargés de la respiration. Elle entraîne la mort dans les 3 ans pour une grande partie des malades.
Traitement de la maladie de Charcot
Il n’existe sur le marché actuel aucun traitement curatif de la sclérose latérale amyotrophique. Seul un médicament a prouvé son efficacité pour retarder l’évolution de la maladie : le riluzole. Les autres traitements ou thérapies utilisés ne tentent que de minimiser les symptômes, comme les crampes, les troubles de l’élocution ou l’atrophie musculaire.
Lorsque les muscles de la respiration sont atteints, le patient est placé sous assistance respiratoire.

                                                         futura-science.com

 
 
 
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